Gardé secret depuis plus de 100 ans : le thé amérindien combat le #cancer 💫
Une simple tisane aux quatre herbes peu coûteuse qui guérit le cancer ? Peut-être même le SIDA ? Cela constitue une préoccupation majeure depuis l'introduction du thé Essiac au Canada au début des années 1920.
Pendant plus de 50 ans, une humble infirmière, René Caisse (prononcer Reen Case), a utilisé le thé avec succès auprès de nombreux patients atteints d'un cancer en phase terminale dans sa clinique du petit village canadien de Bracebridge, au nord de Toronto.
Au début, elle acceptait en échange de ses services tout ce que n’importe qui pouvait facilement se permettre, même des œufs et des produits agricoles. Elle n’a refusé personne. Après 1937, elle ne facturait aucun frais !
Elle n'a pas gagné d'argent avec le thé, même si elle a réussi à en traiter plusieurs centaines. Ses récompenses ont été le harcèlement de la part du ministère canadien de la Santé et la trahison d'une société privée dont elle espérait qu'elle aiderait à faire du thé Essiac un remède légal contre le cancer.
Bien que le nom du thé, Essiac, soit dérivé de l'orthographe du nom de famille de René, Caisse, à l'envers, elle n'en était pas la formulatrice originale. Les ingrédients et la recette proviennent à l’origine d’un guérisseur amérindien Ojibway vivant dans le nord du Canada.
L'origine d'Essiac
René Caisse était infirmière autorisée dans un hôpital canadien en 1922 lorsqu'elle a rencontré une patiente âgée qui avait survécu à un cancer du sein 30 ans plus tôt.
À cette époque, la femme vivait dans un camp minier éloigné du nord du Canada avec son mari. Elle a été admise à l'hôpital pour un cancer du sein et on lui a dit que ses seins devraient être retirés.
Elle a renoncé à la chirurgie et est retournée au camp minier. Dans la zone du camp, elle avait déjà rencontré un guérisseur Ojibway qui prétendait pouvoir guérir son cancer.
À son retour, il lui montra quelles herbes utiliser, comment les cueillir et les cultiver, et comment préparer le thé. Elle suivit ses instructions et, en quelques mois, fut complètement guérie. Elle a vécu en bonne santé pendant encore 30 ans.
Comme René avait à l'époque une tante et un beau-père atteints d'un cancer, elle s'intéressait aux herbes et à la façon de préparer le thé.
Cette femme âgée a donc transmis les ingrédients et la recette du médicament Ojbway à l'infirmière Caisse, qui à son tour a soigné les membres de sa famille atteints de cancer. Concernant son beau-père :
« Cela a pris du temps, dit René, mais il a fini par être guéri. »
À partir de ce moment-là, elle a continué avec un tel succès qu'en 1933, la petite ville de Bracebridge lui a permis d'utiliser le défunt British Lion Hotel comme clinique pour pratiquement aucun loyer, un dollar par mois.
Elle a continué son travail à la clinique de 1934 à 1942. Des centaines de patients atteints de cancer ont été traités avec succès, alors qu'elle ne facturait que peu ou rien. Elle cultivait les herbes, préparait le thé dans la cuisine et l’administrait par voie orale et par injection.
Bien sûr, pendant cette période et par la suite, René Caisse a été au centre de la controverse et du harcèlement de la part des autorités canadiennes.
Elle a déclaré que la seule raison pour laquelle elle n'a pas été emprisonnée était le soutien populaire du conseil municipal de Bracebridge, de plusieurs médecins prestigieux et, bien sûr, de ses nombreux patients guéris. L’un d’entre eux a été guéri du cancer et du diabète.
La cure du diabète a même surpris René ! Grâce à ce soutien, à partir de 1937, l'Infirmière Caisse fut autorisée à traiter le cancer dans les strictes conditions de
1) traiter uniquement les patients en phase terminale,
2) faire appel à un médecin établi pour le pronostic et le diagnostic, et
3) n'accepter aucun honoraire pour ses services. Elle a accepté ces conditions et a continué.
Concernant ses plus de 50 ans de harcèlement, René a déploré : « Je n’ai jamais rêvé de l’opposition et de la persécution qui seraient mon lot en essayant d’aider l’humanité souffrante sans aucune pensée de gain personnel. »
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